ESPACE DEUIL
: Site pour gérer le deuil, la mort, le suicide. Textes de réconfort, poèmes émouvants, étapes du deuil, comment mieux surmonter la perte d'un être cher.

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19 déc. 2013

Nous te disons adieu...


Nous n’avons jamais su ce que tu pensais
Sur plein de choses pourtant essentielles.

Tu ne nous parlais jamais de Dieu,
Mais tu allais à l’église de temps en temps,
Pour dire adieu à tes amis quand ils mouraient,
Pour partager la joie de ceux qui se mariaient,
Pou accueillir les enfants de la famille ou des amis,
Quand on les baptisait.
Et pour les retrouver plus tard
Quand ils faisaient leur première communion.

Aujourd’hui nous, tes proches, nous te disons adieu,
Nous espérons que, silencieusement,
Tu as rejoint ceux que tu aimais,
Ceux dont tu as partagé le travail, les soucis,
Ceux que tu as aidés ou qui t’avaient rendu service.

Demain nous aussi nous partirons
Sans avoir terminé notre travail,
Nous laisserons sans doute des choses à faire,
Nous abandonnerons nos travaux entrepris
Que d’autres à notre place poursuivront.

Mais ce jour-là , nous espérons te retrouver,
Et nous viendrons silencieusement nous asseoir auprès de toi
Dans la maison du Père

Puisque tu pars, site deuil


8 déc. 2013

Depuis que tu es montée là-haut (de Damien Saez)


Le ciel ne sera plus jamais
Aussi noir qu'il n'est aujourd'hui
Comme un soleil ensorcelé
Tes yeux se perdent dans mes nuits
On n'était pas du même monde
Mais qu'est-ce que ça fait maintenant
Puisque les anges et les colombes
Se sont enfuis avec le vent

Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop

Et je t'emmènerai

Paraît que t'étais une princesse
Moi je n'en ai jamais connue
Juste des larmes et des détresses
Et ma chanson un peu perdue
Si un jour tu veux redescendre
Sache que mon cœur est ouvert
Et qu'il saigne à n'en plus comprendre
Où est l'eden où est l'enfer

Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop

Damien Saez


(chanson écrite pour le décès de sa petite amie)
Puisque tu pars, site deuil




30 nov. 2013

Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m'aimes....



Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel !
Si tu pouvais d'ici,
entendre le chant des Anges
et me voir au milieu d'eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les horizons et les champs éternels,
les sentiers où je marche !
Si, un instant, tu pouvais contempler, comme moi,
la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent !

Quoi ! tu m'as vue, tu m'as aimée dans le pays des ombres,
et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer encore
dans le pays des immuables réalités ?

Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient,
et quand un jour que Dieu connait et qu'il a fixé,
ton âme viendra dans le Ciel où l'a précédée la mienne,
ce jour-là, tu reverras celle qui t'aimait et qui t'aime encore,
tu en retrouveras les tendresses épurées.

A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
infidèle aux souvenirs et aux joies de mon autre vie,
je sois devenue moins aimante !
Tu me reverras donc, transfigurée dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort,
mais avançant d'instant en instant,
avec toi qui me tiendras la main,
dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie,
buvant avec ivresse aux pieds de Dieu
un breuvage dont on ne se lasse jamais
et que tu viendras boire avec moi.

Essuie tes larmes et ne pleure plus, si tu m'aimes.


Prière de St Augustin     

Puisque tu pars, site deuil




27 oct. 2013

Demain dès l'aube, je partirai. (Victor Hugo)


Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.


Victor Hugo.
(1802-1885)


Recueil: Les contemplations.


Puisque tu pars, site deuil


26 oct. 2013

Elle seule...



Elle seule a le ciel que vous ne pouvez lui prendre.
Elle seule a mon coeur qu'on ne peut plus arracher ou fendre
Elle seule atteint les songes qui mettent mes nuits en cendres
Elle seule échappe aux flammes comme fait la salamandre.
Elle seule ouvre mon âme à ce qui ne peut s'entendre
Elle seule est qui sait d'où vient l'oiseau vers le temps doux...

Aragon

Puisque tu pars, site deuil




25 oct. 2013

Souhaitez-moi BON VOYAGE ! Rabindranath Tagore


Souhaitez-moi bon voyage mes frères !

Je vous tire ma révérence.

Voici, je mets mes clefs sur la porte.

Accordez-moi seulement au départ quelques bonnes paroles.

Un appel est venu et je suis prêt pour le voyage.

Souhaitez-moi bonne chance, mes amis.

Le ciel est rougissant d’aurore : le sentier s’ouvre merveilleux.

Ne me demandez pas ce que j’emporte. 

Je parts les mains vides et le cœur plein d’attente.

Je n’ai pas revêtu la robe brune de pèlerins;

sans crainte est mon esprit bien qu’il ait des dangers en route.


Extrait de l’offrande lyrique de Rabindranath Tagore

Puisque tu pars, site deuil

23 oct. 2013

J'avais pensé que ta mort....



J'avais pensé que ta mort 
Serait une perte et un anéantissement, 
Une douleur profonde durement ressentie. 

Je commence à peine à comprendre 
Qu'avec toi la vie était un cadeau et une richesse. 

La désespérance qu'entraîne la mort, 
A détruit la présence de cet amour. 

Mais la réalité de la mort, 
Ne peut détruire ce qui nous a été donné. 

J'apprends à me remémorer ce que fut ta vie 
Au lieu de ne songer qu'à ta mort et à ton départ. 


Marjorie Pizer

Puisque tu pars, site deuil


21 oct. 2013

Essuie tes larmes et ne pleure plus, si tu m'aimes. Saint Augustin



Si tu savais le don de Dieu et ce que c'est que le Ciel !
Si tu pouvais d'ici,
entendre le chant des Anges
et me voir au milieu d'eux !
Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux
les horizons et les champs éternels,
les sentiers où je marche !
Si, un instant, tu pouvais contempler, comme moi,
la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent !

Quoi ! tu m'as vue, tu m'as aimée dans le pays des ombres,
et tu ne pourrais ni me revoir, ni m'aimer encore
dans le pays des immuables réalités ?

Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens
comme elle a brisé ceux qui m'enchaînaient,
et quand un jour que Dieu connait et qu'il a fixé,
ton âme viendra dans le Ciel où l'a précédée la mienne,
ce jour-là, tu reverras celle qui t'aimait et qui t'aime encore,
tu en retrouveras les tendresses épurées.

A Dieu ne plaise qu'entrant dans une vie plus heureuse,
infidèle aux souvenirs et aux joies de mon autre vie,
je sois devenue moins aimante !
Tu me reverras donc, transfigurée dans l'extase et le bonheur,
non plus attendant la mort,
mais avançant d'instant en instant,
avec toi qui me tiendras la main,
dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie,
buvant avec ivresse aux pieds de Dieu
un breuvage dont on ne se lasse jamais
et que tu viendras boire avec moi.

Essuie tes larmes et ne pleure plus, si tu m'aimes.


Prière de St Augustin       

Puisque tu pars, site deuil
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20 oct. 2013

Savais-je voir, de ton vivant ? (Père André Marie)


Savais-je voir, de ton vivant,
Les milliers de gouttes d’amour
Qui émanaient de ton être ?
Je désirais les boire,
Sans avoir eu le temps
De les voir, de les savoir.

Maintenant que tu n’es plus,
Avec moi, « main tenant »,
Je sais que ces millions
De gouttelettes sont toujours là.
Elles n’étaient pas toi,
Elles étaient la réfraction
De l’Amour-Soleil en toi.

Saurais-je, de mon vivant,
Voir en moi le mystère,
Et pardonner à la Vie
De ne plus prendre ton image
Mais d’être Vie en moi ?

Le matin, quand le soleil
N’a pas encore bu la rosée,
Il la fait briller de millions
De grains de soleil.

Père André-Marie

Puisque tu pars,  
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19 oct. 2013

Poème sur la mort, de Benoît Marchon



Quelqu’un meurt, 
et c’est comme des pas qui s’arrêtent... 
Mais si c’était un départ 
pour un nouveau voyage ? 

Quelqu’un meurt, 
et c’est comme un arbre qui tombe... 
Mais si c’était une graine 
germant dans une terre nouvelle ? 

Quelqu’un meurt, 
et c’est comme une porte qui claque... 
Mais si c’était un passage 
s’ouvrant sur d’autres paysages ? 

Quelqu’un meurt, 
et c’est comme un silence qui hurle... 
Mais s’il nous aidait à entendre 
la fragile musique de la vie ? 


                                                                      Benoît MARCHON

Puisque tu pars, site deuil



16 oct. 2013

Le temps passe, je ne t'oublie pas


Quand seront recouvertes de mousse les ardoises du toit 
qu'ensemble nous avons construit,
Je ne t'aurai pas oublié.

Quand aura vieilli le rosier qu'ensemble nous avons planté, 
les roses pâliront,
mais je ne t'aurai pas oublié.

Quand j'arriverai un jour à ne plus montrer mes yeux 
couleur de larmes,
je ne t'aurai pas oublié.

Quand la vie reprendra, que je re-sourirai 
ou en ferai semblant,
je ne t'aurai pas oublié.

Quand je te reverrai enfin, 
au-delà du mystère,
tu ne m'auras pas oublié.

Père André Marie.

Puisque tu pars, site deuil

14 oct. 2013

Poème pour un bébé jamais né.



Tu as été envoyé pour être bercé dans nos bras 
Mais tu étais trop petit pour naître aujourd’hui 
Tes mains, pieds et oreilles étaient pourtant si parfaits 
Maman et papa ont partagé leurs rêve
Seras-tu une fille ou un fils ? 

Nous t’avons pris dans nos bras, notre tout petit 
Pour comprendre que nos rêves se sont envolés 
Tu ne pourras jamais sentir les fleurs, entendre la pluie 
chasser les papillons et rire aux éclats 
Tu ne verras jamais le soleil 
Au revoir, notre tout petit 

Anonyme 


Avec toute ma compassion pour les mamans qui ont fait une fausse couche.


Puisque tu pars, site deuil
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13 oct. 2013

Accepte tes émotions. (Père André Marie)



Ne t’étonne pas,
Si tu as perdu un être cher,
D’être comme un pèlerin
Qui ne trouve plus
La direction de la Mecque,
D’être comme un bouquet de fleurs
Qui a perdu l’eau du vase,
D’être comme l’assoiffé du désert
Qui n’a même plus son mirage.

Cette soif d’amour en toi
Ne pourra être apaisée que par toi.
La vie te bousculera,
Le temps t’y aidera.

Découvre la certitude
Que toutes les fleurs se fanent
Et que tous les mirages
Sont de fausses occasions d’espérer.
Ta fusion avec l’autre
Etait peut-être ce mirage.

Regarde la vie au fond des yeux, en vérité.
Puisqu’à jamais le bruit des pas
Dans l’escalier est divisé par deux.


Père André-Marie

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11 oct. 2013

Confidentiel (Jean-Jacques Goldman)



Je voulais simplement te dire 
Que ton visage et ton sourire 
Resteront près de moi sur mon chemin 
Te dire que c'était pour de vrai 
Tout ce qu'on s'est dit, tout ce qu'on a fait 
Que c'était pas pour de faux, que c'était bien. 

Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné 
Tous ces moments, tous ces mêmes matins 
Je vais pas te dire que faut pas pleurer 
Y a vraiment pas de quoi s'en priver 

Et tout ce qu'on a pas loupé, le valait bien 
Peut-être que l'on se retrouvera 
Peut-être que peut-être pas 
Mais sache qu'ici bas, je suis là 
Ça restera comme une lumière 
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas.


Jean-Jacques Goldman

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9 oct. 2013

A toi qui souffres, poème de Raymond Viger


Toi qui vis une dure épreuve
Toi qui vis une souffrance énorme
Essaie d'accepter cette épreuve
Essaie d'accepter cette souffrance.

Ne détourne pas ton regard
De ce que tu as à vivre.
N'enterre pas cette souffrance en toi
Car elle reviendra te chercher
Au moment où tu t'y attendras le moins.

Face à cette épreuve
Exerce ton lâcher prise
C'est le but de cette épreuve
C'est le but de cette souffrance.

Quand tu auras pris conscience de ce lâcher prise
Toutes tes épreuves ...
Toutes tes souffrances ...
Deviendront l'enseignement que tu recherchais.

Tu grandiras avec amour dans l'épreuve
Tu apprendras à mieux te connaître.
Tu découvriras les peurs
Que tu avais cachées en toi.
Tu te découvriras tel que tu es
Dans l'amour et non la souffrance.


Raymond Viger
"Après la pluie... Le beau temps"

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7 oct. 2013

Comment les enfants vivent le deuil



Les enfants survivants sont aussi affectés par la perte d'un frère, d'une sœur.
Voici ce qu'une mère a écrit en observant la réaction de sa petite fille de 5 ans face à la mort de son frère :

Papa dit qu'il est parti, 
Maman dit qu'il est mort, 
Mais il était encore là hier, 
Je ne comprends pas bien ce qu'ils ont dit. 

Papa a l'air très triste, 
Maman pleure tout le temps, 
Tout ça c'est bien ennuyeux, 
C'est parce que mon frère est mort. 

Son ours en peluche est sur son lit, 
Ses pyjamas dans le tiroir, 
Dormir toute seule, ça fait peur, 
Fermons bien la porte du placard. 

Papa dit qu'il est au ciel
Et je me demande où c'est
Maman, que nous y serons tous un jour
Mais je n'en suis pas bien sûre. 

Je voudrais être un magicien
Savez-vous ce que je ferais?
Je le ferais sortir d'un seul coup de cette boîte,
Il pourrait courir et jouer avec moi. 

Mais les magiciens, c'est pas vrai
Du moins c'est ce qu'a dit Maman
Alors je crois que je devrai dormir toute seule

Et que Lancey devra être mort.


Poème trouvé sur le Net, auteur inconnu

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Poème pour le décès d'une personne âgée


C’EST BIEN NATUREL

Quand on pense à ton grand âge
C’est bien naturel
Que tu sois parti(e)

Nous nous y attendions :
Il y avait si longtemps
Que tu souffrais
Que tu t’affaiblissais
Et que tu nous disais :
Mon heure est proche.

Pourtant nous souffrons
Car ceux qu’on aime n’ont pas d’âge
On les aime, c’est tout.

Tu retrouves maintenant
Ceux que tu as aimés
Certains sont partis déjà
Depuis bien longtemps.
Nous ne les connaissons pas
Mais tu nous en parlais :
Maintenant tu les vois.

Pour toi le Christ, la Vierge Marie,
Et tous les saints vont accourir
Ils te prennent par la main
Pour te mener au Père.


Auteur inconnu

Puisque tu pars,  
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2 oct. 2013

Poème sur l'au-delà, ce monde mystérieux



Il est un monde mystérieux que nous ne connaissons pas.
Un monde merveilleux dont nous soupçonnons l'existence.
Un monde auquel peu d'entre nous croit et qui pourtant est là.
Il est là dans nos coeur, on peut l'entrevoir par transparence.

Il est blotti au fond de notre coeur et nous l'ignorons.
Beaucoup y sont partis sans en revenir, cet endroit est magique.
Il accueille tout le monde les mauvais comme les bons.
Cet endroit il nous faut le découvrir car il est tellement unique.

Nous devrons parcourir beaucoup d'obstacles atteindre le bonheur
Laissons parler notre coeur, laissons le faire, il nous guidera
Nous devrons tout quitter, laisser derrière nous nos rancoeurs
Car ce pays magique un jour nous le trouverons, son nom ? 

L'au-delà

Patty Chevalier

Image : IMAGES JOSETTE


Poème d'adieu pour un décès


Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même
Que vais-je faire maintenant de nos projets de nos : « je t'aime »
Et tu me vois, perdu, errant là, au milieu des chrysanthèmes
Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même.

Il y aura toujours une lampe qui brille
Il y aura toujours une lampe allumée

Tu es parti en emportant l'essentiel de mon existence
Que vais-je faire maintenant de ces journées sans importance
Je n'ai plus rien : que seulement une présence dans l'absence
Tu es parti en emportant l'essentiel de mon existence.


Tu es parti en me laissant bien plus qu'une immense blessure
Que vais-je faire maintenant de toutes mes journées si dures
Mais tu me pousses, je le sens à inventer ma vie future
Pour aller encor' de l'avant j'ferai d' mon mieux, je te l'assure.

de Jean-Claude GIANADDA.

1 oct. 2013

Lettre d'adieu avant la mort, poème émouvant.



Je vous écris ce petit poème pour vous dire au revoir
Mes amis, je m’en vais, ainsi va la vie, gardez espoir
Je vous écris ce poétique message pour vous dire adieu
Mes parents, je m’envole doucement,
vers d’autres cieux

Un départ est une nouvelle histoire qui commence
Il est très tard, il en est enfin fini de ma souffrance
Au revoir ceux que j’aime, au revoir
mes amours anciennes
Adieu mes tendres enfants,
je vous aime n’ayez point de peine

Poésie d’une belle vie qui s’éteint, mots d’amour
pour une fin
Poésie d’une envie qui s’étreint,
mots d’amitié écrits pour demain
Au revoir mes amis, ma famille, mes collègues,
je m’en vais au vent
Adieu mes ennuis, mes désirs et frustrations,
je vous quitte à présent

Je vous écris ce petit poème pour vous dire au revoir
Mes amis, je m’en vais, ainsi va la vie, gardez espoir
Je vous écris ce poétique message pour vous dire adieu
Mes parents, je m’envole doucement,
vers d’autres cieux. 


Hamoudi

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